Première édition, ils se souviennent…

Lalou Roucayrol
(Arkema) Vainqueur en temps réel et en Multi50

« Le parcours était super, l’organisation aussi. Pour Arkema, c’était un moment spécial, puisque c’était la première course sur laquelle nous avions deux bateaux, le Mini
et le Multi50. Le Mini avait malheureusement dû abandonner, nous nous étions consolés avec notre victoire. C’était un beau moment de partage avec l’équipage. »

Yves Le Blévec (directeur de course en 2016)

« C’était une superbe aventure, une belle dynamique s’était créée autour de cette DRHEAM CUP, à La Trinité-sur-Mer puis à Roscoff. J’étais vraiment content d’avoir été aux côtés de Jacques Civilise pour cette course estivale multi-classes, c’était sympa de réunir tous les bateaux en amont de la course et de faire un premier jour de prologue qui permettait d’embarquer des jeunes du département. L’accueil des navigateurs avait été très bon, cette opération avait permis de créer des liens entre coureurs avant le départ de la grande course ».

Patrice Carpentier (Groupe 5), vainqueur en IRC:

« Jacques Civilise est un ami de longue date, quand il a décidé d’organiser cette course,
j’ai été l’un des premiers à lui dire que je la courrais, j’ai tenu ma parole. Nous avions eu un gros coup de vent à Wolf Rock qui avait pimenté l’affaire, l’accueil à l’arrivée avait été très sympa, avec une remise des prix pendant la Fête de l’Oignon à Roscoff. A La Trinité, on tourne parfois un peu en rond, le fait d’avoir ce genre de course permet d’aller voir ailleurs, c’est une course qui sort des habitudes ».

Thomas Ruyant
(Le Souffle du Nord), vainqueur en Imoca

« Nous avions eu de l’air, je me souviens d’une remontée au près dans 25-30 nœuds,
nous avions été secoués sur un parcours technique. Cette DRHEAM CUP avait contribué
à préparer mon Vendée Globe, c’est positif d’avoir une telle course à ce moment de l’année pour préparer les échéances de l’automne. Nous avions également profité de la semaine pour emmener des partenaires sur le bateau, c’est important de faire vivre le projet. Ce genre d’épreuve sur plusieurs jours constitue le format idéal pour ces moments de partage. »